Vraiment en vrac
Ce papier sur Penone me remet en mémoire cette belle installation de Calzolari vue à Nice il y a quinze jours, le lit étrusque (un petit glouglou débonnaire finit par oxyder la surface de la table; il ne reste plus de l'enfant qu'une basket réfrigérée et l'enregistrement d'un appel familier: "Soso! Soso!"). Les varappeurs du viaduc des Fauvettes (d'où l'on voit, théorème d'existence, Supélec) et Gometz-le-Châtel. "Dans Guerre et paix, oui je ne me souviens plus, mais j'ai sauté tout ce qui était batailles et je me suis concentré sur l'intrigue amoureuse". Je croyais être débarrassé du russe: eh bien, non, quand il n'y en a plus, il y en a encore (*accablement*; enfin, plus que deux séances - ça pourrait servir, quand je serai muté à Karaganda). Vu Tournée: bien aimé ces blondes généreuses, un peu moins ce masochiste aimant se faire bousiller (chez Intermarché, par exemple). Vu Mine vaganti: plaisant et localement lourdingue, avec au moins une scène très amusante. Vu Carlos, ses engins et ses problèmes aux testicules (très bonne bande-son; dans la salle, Béatrice Romand et Lou Castel: c'est un complot des années 70). Encore deux démissions aujourd'hui. Ah oui, j'oubliais: l'amoureux - non motorisé - de ma nièce fait Vauhallan-Bures à pied pour voir ma nièce: il mérite notre respect à tous.