Une semaine muy, muy especial
"Twitter pour râler et se défouler, les blogs pour paraître de marbre (keep a stiff upper lip), FB pour la paranoïa". La prof de russe a trouvé que j'avais "une petite fluidité" (elle a dû faire otorhino dans une autre vie) et m'a demandé si "j'avais des problèmes professionnels en ce moment" (répondu que non). Croisé (mais pas affronté) un fantôme. Le retour du livre II (3 sur 18 et 272 sur 2200). Trois victimes inattendues de l'histoire grecque et une estive sur les bords de l'Adour. La coda la plus sinistre que l'on puisse imaginer à l'histoire de Katyn: un aréopage de représentants éminents de la nation polonaise (un gouverneur de banque centrale, tout un état-major, quelques évêques, le vainqueur à gauche des primaires pour la présidentielle et un président dont tout le monde croit de bon goût ici de dire que sa disparition n'est pas une grande perte) se tuent sur les lieux mêmes de l'endroit de l'assassinat de plusieurs milliers d'officiers de réserve polonais. Au cinéma: Les chaussons rouges (beaucoup dormi, mais les 20 dernières minutes sont sublimes (cri du coeur incident: guillaume mbr - à qui je dois d'avoir découvert ceci, reviens !)), Les invités de mon père et Tête de turc (deux films plutôt plus que moins réussis). Vu L et T, par petits bouts. Au théâtre: Une mégère à peu près apprivoisée Splendid et sympathique et un méchant Molière où la bonne était mauvaise. Aux Concerts Gais: "ce blam ! chut! blam! chut! va vite se retrouver sur le web". Preums.