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zvezdoliki
6 septembre 2010

(ah oui j'oubliais, j'ai un blog à nourrir)

Week-end où j’ai rarement autant mangé. A l’orchestre, c’était ripaille non stop pour les un an de l’association – un an seulement, j’ai l’impression que nous existons depuis nettement plus longtemps tant cette année a été riche- ; vendredi soir, nous étions invités chez un jeune couple qui vient d’emménager ensemble (fusion réussie de deux intérieurs différents) et hier soir, j’avais à la maison un très vieux copain – nous étions ensemble au lycée ! – et son ami.

Samedi, déchiffrage de la Pastorale, avec deux contrebasses – luxe, pizz et volupté - de quoi rendre le ruisseau enfin navigable) et de la rhapsodie opus 53 de Brahms, cette vieille connaissance en forme d’hymne LGBT (l’hymne final avec ces pollens qui volètent dans le cosme, c’est vraiment ruisseau, confitures célestes et autres jubilations médiévales – en incluant le supplice de la roue dans les jubilations médiévales, parce que ça fait vraiment très mal au bras (gauche)).

Dimanche, c’était un peu plus n’importe quoi, l’idée étant de faire de la musique de chambre en plein air, rendez-vous avait été pris à la Villette. Il a fallu échapper aux djembés, dont la pulsation n’est pas compatible avec le tempo de deux mouvements consécutifs d’un divertimento de Mozart  (théorème) ; jouer de la pince à linge (ça a bien tenu sur les côtés mais le centre, le scotch du milieu de la partition a lâché assez vite).

(ah oui, et puis et à midi, c'était confit de canard - erreur funeste)

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Commentaires
G
On peut certainement envisager d'arranger le Divertimento en question afin d'y adjoindre une paire de djembés. Voyons, à qui allons-nous demander ça ?
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