Vu

• Oslo 31 août. Un film magnifique, étonnamment tonique pour le récit des 24 dernières heures d'un jeune homme. Que de séquences marquantes: un entretien d'embauche avec un éditeur torpillé en quelques mots; la confession d'un ami proche qui s'enlise dans la vie de famille; un petit matin au bord d'une piscine; un dernier morceau de Bach Haendel au piano. Et Oslo comme terrain d'un jeu de go.

• Albert Nobbs: Glenn Close en vieux serveur qui cache son jeu. L'émotion qui naît de voir la souris pousser le caillou qui bouche le tunnel vers la sortie....
• La taupe: pas tout suivi, mais je serais capable de raconter la fin à qui veut.

Comments

[zvezdo]

merci d'avoir rectifié !

[Eudes B.]

Oslo 31 août est un film somptueux dont les images sont belles à en pleurer (comme les scènes que vous citez). Si vous le permettez, cher Zvezdo, j'apporterai une petite correction : c'est Haendel que le jeune homme triste joue sur son piano désaccordé (la suite n° 15, il me semble). Il s'agit (à ce moment précis de sa vie) d'une purification désespérée.