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zvezdoliki
27 mai 2016

Nigl en roi fou

Alléché par le baryton (j'avais vu Nigl à la télé dans Wozzeck, et c'était remarquable).

Ce qui m'a encore le plus plu, c'est en définitive The Forgotten City, de David Hudry: musique brutale et séduisante (fasciné de voir le contrebassiste battre ses cordes avec une baguette en bois). Des pièces avec Nigl: le Jarrell (Adtende, ubi albescit veritas) est une pièce sérieuse, qui finit par émouvoir au dernier verset (In te, anime [me]us, tempora metior); le Maxwell-Davies (Eight Songs for a Mad King) est très (trop?) spectaculaire, mais plus impressionnant qu'émouvant (sauf, peut-être, pendant la parade finale). Il y avait aussi une pièce de Rihm (Die Stücke des Sängers, avec harpe soliste), mais je n'accroche décidément pas du tout avec cette musique.

 

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26 mai 2016

Un exemple de passage que j'aime chez Tristan

(stratégie de la tension entre la créancière et le débiteur: tenues menaçantes aux vents avec tuilages, ce qui fait qu'on a l'impression d'un crescendo continu... qui se décharge en un motif rythmique, fauve aux cordes)

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26 mai 2016

Un exemple de passage que je n'aime pas dans Tristan

(déluge de notes affolées comme si une mamie était piquée par une bestiole en mangeant une saucisse (et quelle langue affreuse))

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