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zvezdoliki
16 décembre 2009

Beethoven à la Cité

Krivine et la Chambre Philharmonique, dans l'ouverture d'Egmont, le triple concerto et la 3ième symphonie.

Quelle fougue, quels tempos (très rapides, mais proches de ceux de Beethoven), quelle articulation. Je suis épaté par les violons qui sonnent comme un seul instrument, c'est très juste malgré l'absence de vibrato et ça sonne étonnamment rond - le 1er violon solo, Alexander Janiczek (qui joue aussi le solo du triple concerto), n'y est pas pour rien. Dans le 1er mouvement de l'Eroica, on entend comme jamais certains détails structurants comme les accents sur le second temps (à la fin de l'exposition). Un tempo rapide permet d'éviter l'enlisement dans les passages les plus minéraux et répétitifs et de garder la direction. Moins emballé par le triple concerto (et c'est la faute à Peter Wispelwey).

Pour ceux qui ont raté ce grand moment, les vidéos des symphonies 1 à 5 sont accessibles ici jusqu'au 18. 

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