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zvezdoliki

10 août 2010

Encore une qui a bien repéré que j'étais passablement agité du bocal

Elle finit son gentil petit mot par ceci: “Hope you are feeling more peaceful now that I am not there to occasionally ask u how to pronounce French words. “

(il n'y a pas à dire, ce sont encore les autres les meilleurs contributeurs de ce blog)

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9 août 2010

Reçu de mon cher et tendre cette troublante invite, par SMS:

Bonjour. Pouvez vs travailler chez moi demain après-midi ? G *****

Il me confond avec sa femme de ménage, maintenant... enfin, qu'il dit.

8 août 2010

Selon une formule éprouvée, rien de bloguable mais je peux quand même révéler m'être mis sous la dent:

  • un machin addictif: (via gayclic), Physique ou chimie (vu jusqu'à l'épisode 33). Etonnant à divers titres  (l'interventionnisme de toutes et de tous dans la vie privée des uns et des autres: quelle horreur).
  • un très bon film: Un poison violent: le moment où le papillon sort de la chrysalide. Avec Galabru cacochyme et faunesque (ce n'est pas lui le papillon). L'évanouissement comme arme de guerre anti catholique. Et une excellente bande son.
  • un truc bandant et longuet (parfois, ça va de pair): Plan B. Rien de tel, évidemment, que de ne jamais conclure; ces scènes où ces deux types dorment ensemble sont terribles terribles.
  • un ancien béguin que j'avais peur de revoir (merci à chori de m'avoir tenu la main) mais que j'ai revu avec beacoup de plaisir: Yoyo (avec en bonus un délicieux court métrage). J'ai mieux compris ce qui m'avait irrité à la précédente vision (le côté anar de droite). Mais quelle fluidité, quelle variété dans les gags!
3 août 2010

Londres

Trois grands moments:

  • Retour à la boîte à chapeaux géante avec ses dragées fuca pendues au plafond. Ce soir, pour le prom 18 et l'Orchestre des jeunes australiens, l'ambiance est franchement à la fête. Autour de moi, ça picole à peu près partout: notamment dans ma loge, où trois quinquagénaires sont bien décidés à fêter à l'entr'acte l'anniversaire de l'un d'entre eux. La décoration est franchement débonnaire avec ces velours rouges avec l'écusson RAH en gothique, et avec, au centre du parterre, là où les gens sont debout, le clou: un mini étang avec fausse grenouille très verte; je n'arrive pas à décider d'où je suis s'il y a de l'eau ou pas. Début de concert poussif, mais la 10ième de Chostakovitch me réveille tout à fait; je n'avais jamais vu à quel point Dimitri (DSCH, hystérique) faisait du gringue à une certaine Elmira (EAEDA, le beau thème placide du cor, droit comme un I) dans le troisième mouvement.
  • Kew Gardens: l'endroit rêvé pour assouvir sa passion des plantes, de toutes les plantes! J'adore, à deux réserves près: on entend tout le temps des bruits infernaux d'avions (Heathrow est tout proche) et le gazon anglais n'est plus ce qu'il était (c'est tout jaune! le sustainable development, c'est bien, la tradition du gazon anglais, c'est mieux!)
  • Hampton Court Palace: pour les cheminées Tudor, le cabinet Wolsey,les Mantegna et les merveilleux jardins....

londra_032

1 août 2010

Je traduis:

londra_059

Bon, les cyclistes, montrez donc un peu de considération pour ces barjos de piétons... (hein, quoi, bordel)

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26 juillet 2010

Vraiment en vrac

Ce papier sur Penone me remet en mémoire cette belle installation de Calzolari vue à Nice il y a quinze jours, le lit étrusque (un petit glouglou débonnaire finit par oxyder la surface de la table; il ne reste plus de l'enfant qu'une basket réfrigérée et l'enregistrement d'un appel familier: "Soso! Soso!"). Les varappeurs du viaduc des Fauvettes (d'où l'on voit, théorème d'existence, Supélec) et Gometz-le-Châtel. "Dans Guerre et paix, oui je ne me souviens plus, mais j'ai sauté tout ce qui était batailles et je me suis concentré sur l'intrigue amoureuse". Je croyais être débarrassé du russe: eh bien, non, quand il n'y en a plus, il y en a encore (*accablement*; enfin, plus que deux séances - ça pourrait servir, quand je serai muté à Karaganda). Vu Tournée: bien aimé ces blondes généreuses, un peu moins ce masochiste aimant se faire bousiller (chez Intermarché, par exemple). Vu Mine vaganti: plaisant et localement lourdingue, avec au moins une scène très amusante. Vu Carlos, ses engins et ses problèmes aux testicules (très bonne bande-son; dans la salle, Béatrice Romand et Lou Castel: c'est un complot des années 70). Encore deux démissions aujourd'hui. Ah oui, j'oubliais: l'amoureux - non motorisé - de ma nièce fait Vauhallan-Bures à pied pour voir ma nièce: il mérite notre respect à tous. 

20 juillet 2010

Rien de vraiment bloguable ces derniers temps....

Plein d'annonces de grossesses autour de moi (un signe avant coureur du double dip, sans doute); l'arrivée d'un nouveau n+2, qui m'a l'air très farceur et a dit en me voyant: oh mais c'est vraiment très junior cette équipe! (NDLR: je suis le plus vieux de l'équipe); la visite longue et bien agréable d'un ami, ici chez moi; deux films plaisants mais pas géniaux (Dans mes yeux et Tamara Drewe, vu au cinéma à côté d'un ami de 23 ans croisé par hasard et qui a - aujourd'hui comme à l'époque - exactement l'humour Tamara Drewe). Et puis Twitter, ce douloureux problème: que faire..... l'addiction est trop forte et le plaisir bien limité. Je crois que je vais carrément bazarder le compte.

10 juillet 2010

Lérins

Une journée, seul, sur l'île Sainte- Marguerite. Si ce n'est pas le paradis, ça y ressemble.

9 juillet 2010

Nice

La ligne 100, de bout en bout. Au musée Matisse, Anémones et Gandoura, de Baltimore et Lydia Delectorskaya sous toutes les coutures. Un peu plus tard, dans le cimetière attenant au monastère franciscain de Cimiez, la tombe de Matisse et de sa femme.

7 juillet 2010

Camp d'Argent Sospel

Descente par les crêtes; paysage étonnant de Pyrénées Atlantiques, vert avec une belle forêt de sapins. Le col de Turini et ses colonies de vacances. En haut des remontées mécaniques, un vieux berger avec son parapluie et un beau sourire nous annonce - à tort - de l'orage. Chaque nouvelle crête est plus basse que la précédente. Vers midi, nous voyons enfin Sospel à la cime du Simon (vers 1400). On voit bien aussi le beau U très évasé du col de Castillon qui va vers Menton. Brusquement, nous entrons dans un maquis avec genêts et lavande. Descente vers un vallon très étroit, celui du Giou. Après le pont, je rentre en sidération à cause d'un serpent et nous perdons le chemin (une scène quasi-mythologique). Pendant une heure et demie, c'est la panique: nous cherchons le passage dans un un terrain de plus en plus instable, très escarpé et tout en éboulis, avec des arbres qui parfois cèdent quand on s'y accroche. A un moment, la vallée devient un vrai canyon: nous décidons de remonter à pleine pente..... et nous finissons par retrouver le sentier, qui en fait est très bien tracé. Arrivés dans la vallée de la Bévéra, nous finissons en stop. A Sospel, nous comprenons que l'Auberge provençale (très bonne adresse, chef allemand qui aime le camembert) est 2 km au-dessus de la ville, sur la route du col de Castillon. Vue magnifique sur la ville.

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